Jean-François Bourdon , au rythme de sa révolte et et de son écoeurement nous écrit ces lignes que j’ai plaisir à vous proposer. On sent le vent de la pointe du Raz se lever et souffler sur l’esprit de résistance . Magnifique et merci Jean- François, on t’emboîte le pas.
Qui sont ces abrutis, qui ce vendredi soir,
ont transformé Paris en sinistre abattoir?
Fanatisés, choisis, disciples du drapeau noir,
ils débarquent de Syrie, contraints par le devoir,
même au prix de leur vie de se couvrir de gloire,
par des ignominies, semant le désespoir.
Les risques encourus sont relativisés…
Au paradis d’Allah, leur place est assurée.
Ivres de barbarie, mais de sang assoiffés,
la mort des mécréants est leur félicité.
Ces fous décervelés,venus semer la mort,
le monde civilisé, écoeuré les abhorre.
Chrétiens, juifs, musulmans, et ceci les honore
ont laissé de côté, pour un moment encore,
les conflits hérités de Sodome et Gomorrhe.
Nouveaux » Fléaux de Dieu », se servant des sourates,
ils pillent le coran, tels d’ignobles pirates…
faux pèlerins duHadj, envoyés du Prophète,
ignoble ramassis de vils coupeurs de tête,
ils tuent des innocents, à l’heure qu’ils ont choisie,
le jour de la prière, au soir d’un vendredi.
C’est au nom du »Très-Haut Miséricordieux »,
que, suppôts de Satan, ils cachent bien leur jeu.
Ceinturés de plastic, armés de mitraillettes,
ils sèment la terreur, au plein cœur de la fête.
Aux crisd’Allah Akbar, proférés à tue-tête,
ils mitraillent les bars, en pros de la gâchette.
Puis c’est au Bataclan, qu’un vrai feu d’artifice
signera le « contrat » des hérauts salafistes .
La France et les français sont, aujourd’hui leur cible,
manifestant pour nous un mépris indicible.
Leurs efforts seront vains, et tous ces misérables
seront châtiés demain pour leurs actions coupables.
Epris de liberté de tous « pays » de France,
on verra refleurir l’esprit de Résistance,
ravivant les couleurs d’une sublime fresque,
mettant au pilori ces nouveaux barbaresques.
Vous m’avez bien compris, laissez-moi faire mon deuil…
quant à ces abrutis, pas besoin de cercueils
Jean-François BOURDON